détails sur (10/2) Edouard Joseph SPECKLIN


(10°/2) MARIAGE Edouard Joseph SPECKLIN - Victorine VELU
fils de (9/2) SPECKLIN Joseph (1838 Zillisheim-1917 St.Quentin)- HIRTH Sophie Marie
pt.fils de (8/1) SPECKLIN Paul (10.9.1789-25.1.1858 à Zillisheim) et BECK Catherine
bisaïeuls: (7/1) SPECKLIN Paulus (1760 Tagsdorf-1809 Zillisheim) et de KIEFER Catherine
trisaïeuls: (6/1) SPECKLIN Jean (1724-avt.1783 Tagsdorf) et TEIFFER Anne-Marie

SPECKLIN Edouard Joseph (24.3.1869 Zillisheim-17.1.1939 St.Quentin/Aisne) , pareur puis préposé aux commissions de Paris , à la fabrique de Broderies H & A BASQUIN à St.Quentin de 1883 à 1919. En 1872 , quitte avec ses parents , Zillisheim pour St.Quentin où il reste jusqu'en 1917 , où l'autorité militaire allemande occupant St.Quentin l'évacue dans les Ardennes comme "prisonnier civil" en tant qu'Alsacien; après 1918 , il revient à St.Quentin.
oo 3.9.1898 St.Quentin , VELU Victorine (24.3.1873-1.3.1953 St.Quentin/Aisne)
leurs enfants (SPECKLIN-VELU) nés à St.Quentin/Aisne:
1) SPECKLIN Robert (26.4.1900- 11.10.1980 Nice/A.M.) ingénieur civil , dom. Poitiers (11°/2)
oo 2.4.1927 St.Quentin MASSON Raymonde (20.9.1902 Rouvroy/Aisne-9.7.1987 Chauvigny/Vienne) fille de MASSON Albert (2.3.1874-26.4.1950) et VATIN Marie (23.5.1880-6.2.1954)

Anecdote racontée en 1998 par son petit-fils Marc (12/2):
"Mon Grand'père Edouard (10/2) grimpait (à 48 ans) aux arbres comme un singe et pendant son séjour Ardennais , alors qu'il cueillait des pommes avec des enfants , un militaire allemand se joignit à eux , faisant tomber les fruits avec un bâton. Celui-ci , lâché involontairement par le soldatatteignit mon grand'père à la nuque , entraînant un évanouissement prolongé. Edouard se remit du choc , mais en 1928 des troubles cérébraux commencèrent à apparaître et pensant 12 ansle mal empira pour se terminer par une paralysie totale. Alsacien avant tout (il faisait sa choucroute lui-même , faisant venir les choux d'Alsace) et profondément croyant , il lui arrivait , en cas de désaccord avec ma grand'mère (événement rare) de se fâcher en Alsacien. Il m'aimait beaucoup. Malheureusement je ne l'ai connu que malade."